commenter cet article …
Axel Poniatowski, député maire UMP de l'Isle-Adam, accueillera le 18 juin prochain Alain Juppé, membre du triumvirat provisoire à la tête de l’UMP. L'ancien ministre participera à la fête annuelle de l'Union pour la Vallée de l'Oise et la Ville nouvelle (U2V). (l'U2V est l'association de soutien d'Axel Poniatowski)
Le 2ème tour des élections municipales est venu confirmer voire accentuer la vague du 1er tour et a ainsi infligé à François HOLLANDE et au Gouvernement une gifle historique. Jamais le contexte national n’aura autant pesé sur des élections locales. Le taux d’abstention record est à lui seul le signe d’un désarroi profond des Français qui attendent de leurs dirigeants courage, engagement et capacité de décision.
La gauche, au lieu de jeter toutes les forces du pays dans la bataille de la reprise économique, seule capable de créer de l’emploi, n’a eu de cesse depuis qu’elle est au pouvoir de masquer ses lacunes par des diversions grossières au travers de projets sociétaux qui n’ont eu pour résultats que de diviser les Français au lieu de les rassembler dans cette période difficile.
Cela fait maintenant deux ans que la gauche fait fausse route. Les Français ont clairement dit à l’occasion des élections municipales : stop !
Dans le Val d’Oise, à l’exception de Cergy, mission accomplie, c’est le quasi grand chelem. La droite et l’UMP en particulier a remporté toutes les villes dont elle avait fait un objectif. Au 2ème tour, ce n’est pas moins d’une dizaine de villes qui basculent de gauche à droite : Argenteuil, Eragny-sur-Oise, Auvers-sur-Oise, Beaumont-sur-Oise, Eaubonne, Jouy-le-Moutier, Taverny, Montmorency, Méry-sur-Oise.
Je me félicite de ces victoires, pour certaines symboliques car dans des fiefs tenus par le Parti Socialiste depuis des décennies. Ces élections municipales auront été l’occasion de démontrer la qualité des candidats de l’UMP et sa capacité à se renouveler.
La reconquête des territoires ne fait que commencer. L’UMP est en ordre de marche pour désormais préparer les élections départementales et régionales qui viendront parachever le formidable mouvement de reconquête amorcé les 23 et 30 mars. Malgré les tripatouillages et les manœuvres désespérées de la gauche pour se sauver en redécoupant les cantons à son seul profit, les Val d’Oisiens ont dores et déjà montré qu’ils avaient bien compris qu’il était temps de passer de l’idéologie au pragmatisme, du sectarisme au rassemblement et du verbiage aux résultats.
A l’UMP, message reçu cinq sur cinq.
Axel Poniatowski
Député et Président de l'UMP Val d'Oise
Au lendemain d'un 1er tour sans précédent, l'UMP se félicite des excellents résultats obtenus par l'ensemble de ses candidats dans le département.
L'UMP a conservé dès le 1er tour un très grand nombre de villes avec des scores éloquents comme par exemple les 78% obtenus par Yannick BOEDEC à Cormeilles-en-Parisis, la réélection de Hugues PORTELLI avec 65% des voix à Ermont ou encore celle de Jérôme CHARTIER avec un score de 79% à Domont. L'élection de Philippe ROULEAU à Herblay au 1er tour dans le cadre d'une succession difficile est également un message très fort envoyé par les électeurs.
Au-delà de ces succès, le 2ème tour s'annonce comme très prometteur. L'UMP est en effet arrivée largement en tête dans un très grand nombre de villes que nous devrions remporter le 30 mars. Gâce à la très forte poussée du 1er tour et les nombreuses réserves de voix chez les abstentionnistes, l'UMP est ainsi en passe de remporter des villes comme Auvers-sur-Oise, Beauchamp, Eaubonne, Eragny-sur-Oise, Franconville, Garges-les-Gonesse, Goussainville, Jouy-le-Moutier, Luzarches, Montmagny, Méry-sur-Oise ou encore Taverny.
Enfin, à Argenteuil et à Cergy, Georges MOTHRON comme Thierry SIBIEUDE peuvent l'emporter dimanche prochain.
Le 30 mars, il est donc primordial que tous les électeurs du département qui souhaitent voir leur ville gérée par des équipes pragmatiques, responsables et capables de préparer l'avenir, se mobilisent pour amplifier le fantastique mouvement qui s'est amorcé au 1er tour.
Dimanche prochain, l'objectif est que l'UMP célèbre une victoire historique, faisant du département du Val d'Oise l'exemple absolu de la conquête et reconquête des territoires.
Axel Poniatowski
Député et Président de l'UMP 95
Tournant ou pas tournant politique, telle semble être la question qui taraude l'ensemble de classe politique et médiatique à la suite de la conférence de presse du Président de la République de la semaine dernière. Mais avant de se poser cette question, que faut-il retenir de cette fameuse conférence de presse et des objectifs affichés ?
Quatre points me semblent devoir être retenus :
Je le dis tout de go, ces objectifs me vont bien. Cela fait déjà plusieurs mois que l'UMP conjure le gouvernement de changer de direction, au risque dans le cas contraire d'emmener notre pays droit dans le mur. La différence entre la gauche et nous, c'est que nous sommes cohérents. La gauche a torpillé toutes les réformes de Nicolas Sarkozy, non pas parce-qu'elles étaient mauvaises mais uniquement parce-qu'elles venaient de Nicolas Sarkozy. En ce qui me concerne, je pense que ce n'est pas parce-que nos idées se retrouvent dans la bouche de François Hollande qu'elles deviennent de facto mauvaises.
MAIS, et il y a un gros mais. Définir les objectifs et déclarer de bonnes intentions c'est bien, les réaliser et les mettre en œuvre, c'est mieux. Et là, malheureusement, le doute est toujours aussi grand. C'est d'ailleurs la méthode traditionnelle du Président de la République qui faisait dire à Martine Aubry il y a quelques temps déjà que « quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup ».
En ce qui concerne le calendrier d'abord. Oublié le choc de compétitivité et son urgence. La plupart des mesures seront entreprises (si elles le sont) d'ici 2017. On a connu plus précis. En ce qui concerne le financement ensuite. L'ensemble de ces promesses, auxquelles on doit ajouter celles qui ont été faites à Bruxelles, représente la bagatelle de 40 à 45 milliards d'euros par an de baisse des dépenses. Et pour le moment, le moins que l’on puisse dire, c’est que le Président est peu disert sur les économies qu’il compte faire.
Alors, je ferai mienne la formule de Jean-Pierre Raffarin : « chiche ! » Mais que le Président de la République ne s’y trompe pas. Si ces annonces ne relèvent que du pur calcul politique pour mieux brouiller les cartes, nous saurons le dénoncer et exiger du gouvernement qu’il applique ce qu’il a annoncé.
Vous l’aurez compris, cette nouvelle année se présente sous l’angle de l’exigence, de la vigilance et de la combativité. Je souhaite à cette occasion vous présenter à chacune et à chacun, ainsi qu’à ceux qui vous sont chers, tous mes meilleurs vœux pour cette année 2014.
Axel Poniatowski
Député et Président de la Fédération UMP du 95
Cela fait maintenant 19 mois que François Hollande et Jean-Marc Ayrault président aux destinées de la France avec les résultats que l'on sait. Pendant ces 19 mois, l'UMP a entamé sa reconstruction après une défaite qu'il aura fallu digérer. Au-delà des questions de leadership ou d'inventaire des cinq dernières années, l'UMP a du faire l'apprentissage de l'opposition. Mais quelles que soient les ambitions, l'UMP doit faire son job: s'opposer et proposer. C'est à cette seule condition que la droite retrouvera sa crédibilité et augmentera ses chances de succès dans trois ans.
Face à une réforme fiscale qui fait déjà "pschitt" et qui a du plomb dans l'aile avant même d'être lancée, face au décrochage chaque jour plus flagrant de notre pays (absence de croissance, hausse du chômage, déclassement de notre système d'éducation, augmentation des déficits et de la dette), l'UMP prend la mesure de ce que les Français sont en droit d'attendre d'elle: s'opposer et proposer.
C'est avec courage et constance que nous devons porter les mêmes messages et propositions de bon sens que sont:
Il s'agit là des principes de base sans lesquels la France ne pourra entamer sa reconstruction et envisager l'avenir avec énergie, optimisme et efficacité. On nous répondra, à juste titre, que nous ne l’avons pas fait avant et que nous ne sommes pas allés au bout des choses. C’est vrai. Mais le diagnostic reste bon, et les solutions de bon sens. En soit, elles ne sont d’ailleurs pas si originales puisqu’elles sont déjà appliquées par à peu près la totalité des pays développés, y compris des pays comme l’Espagne ou le Portugal qui sont en train, malgré la crise, de rattraper leur retard de compétitivité.a
Mais ne nous trompons pas, l’enjeu pour la droite aujourd’hui est de ne pas se contenter d’incantations. Les Français attendent de l’opposition et de l’UMP en particulier, courage, détermination et bon sens. C’est le prix de la crédibilité. C’est en tout cas le vœu que je forme pour ma famille politique, avec quelques jours d’avance sur la nouvelle année. J’en profite pour vous souhaitez à toutes et à tous d’excellentes fêtes de fin d’années, familiales, chaleureuses et reposantes.
Trés cordialement,
Axel PONIATOWSKI
Président du comité départemental UMP Val d'Oise
La semaine dernière, comme tous les mois depuis maintenant 18 mois, le Gouvernement et François Hollande se sont livrés à leur traditionnel exercice d’équilibriste pour justifier l’injustifiable et pour expliquer l’inexplicable : les chiffres du chômage.
Pris dans le piège de la promesse intenable de François Hollande d’inverser la courbe du chômage à la fin de l’année, le gouvernement entretient la confusion voire la manipulation des statistiques. L’annonce de 20 000 chômeurs en moins relève malheureusement davantage de l’affichage savamment organisé que d’une baisse réelle du nombre de demandeurs d’emploi.
Il y a les chiffres que l’on claironne et il y a ceux dont on parle moins. Ainsi, derrière la baisse officielle de 20 000 demandeurs d’emplois, il y a le chiffre beaucoup moins avouable et peut être embarrassant des 50 000 radiations.
Ensuite, la multiplication des emplois aidés, ces emplois subventionnés qui coûtent une fortune au pays, ne font que masquer partiellement une situation du marché de l’emploi en France très dégradée. En effet, hormis l’emploi des jeunes qui bénéficie de l’illusion créée par les emplois aidés, TOUTES les autres catégories (B et C) voient les chiffres du chômage augmenter. Ainsi, les chômeurs de catégorie B (ayant exercé une activité courte durant le mois) ont augmenté de 3,7 % et ceux de catégorie C (ayant exercé une activité réduite sur plusieurs mois) ont augmenté de 4 %, soit une augmentation de 39.600 personnes pour ces deux catégories en octobre.
Ce sont, en réalité, 5,3 millions de Français qui connaissent des problèmes d’emploi.
Un autre chiffre est éloquent, et bien réel celui là : depuis un an, ce sont 110 000 emplois marchands, c’est à dire du secteur privé, qui ont été détruits. C’est également la faillite annoncée de 63 000 entreprises qui devrait supprimer 200 000 postes supplémentaires.
Le gouvernement ne peut donc se satisfaire de cette situation et s’abriter derrière ses emplois aidés qui sont d’abord et avant tout des « anti-douleurs » mais certainement pas une solution. La solution, elle est connue mais demande un peu de courage. Elle consiste à remettre la France au travail, c’est à dire à travailler plus et à baisser le coût du travail. Cela s’appelle une politique économique. Et nous n’en n’avons plus depuis 18 mois.
Axel Poniatowski
Député du Val d'Oise
Président de la Fédération UMP
Du jamais vu !
Non content des 60 milliards d’euros d’impôts supplémentaires déjà imposés aux Français, le budget 2014 tourne au véritable concours Lépine de création de nouvelles taxes ou nouveaux prélèvements. PEL, PEA, assurance-vie, boissons énergisantes, quotient familial, impôt sur le revenu, impôt sur les sociétés, fiscalisation des complémentaires santé, des heures supplémentaires, des frais de scolarité, de la majoration des retraites pour les parents de famille nombreuse, l’augmentation des droits de mutation, des cotisations retraite, des charges patronales, des charges salariales, Eco-taxe, sans parler bien sur de l’augmentation de la TVA à venir. Tout y passe !
Et que dire de ce désormais principe de rétroactivité ? Aujourd’hui, plus personne n’est à l’abri de voir ses impôts augmenter y compris pour les années passées. Non seulement cette méthode totalement déloyale piège les épargnants et les investisseurs, mais elle est dévastatrice en termes de lisibilité, conduisant tout acteur économique, citoyen comme entreprise, à prendre le moindre risque pour ses investissements. Tout le contraire de ce dont notre pays a besoin.
On peut par ailleurs s’interroger sur la cohérence de cette politique fiscale avec un gouvernement qui vous dit le matin qu’il faut faire plus de logements et qui l’après midi fiscalise les PEL ou abaisse le taux du livret A ou qui dit vouloir inciter les épargnants à investir dans les PME françaises pour dans la foulée taxer rétroactivement les PEA. Tout cela n’a pas de sens.
Au-delà du risque de mettre la France à feu et à sang, d’assommer un peu plus des classes moyennes qui luttent contre le déclassement et des classes populaires qui ne s’en sortent déjà plus, ce Gouvernement à bout de souffle est tout simplement en train de mettre la France à genoux.
A force d’impréparation, d’amateurisme ou plus grave, faute de courage et d’imagination, le Gouvernement asphyxie notre pays. Toujours en prise avec une idéologie dépassée selon laquelle c’est en dépensant toujours plus que la croissance reviendra comme par magie, la gauche fait décrocher notre pays et les Français avec.
Alors que les nouvelles taxes pleuvent, où sont les économies ? Où sont les propositions de baisse de la dépense publique ? Le Gouvernement était prêt à taxer les petits épargnants, pour, officiellement, combler le trou de la sécurité sociale. Mais pour combler durablement, encore faut-il arrêter la fuite ! Or, les comptes de la sécurité sociale sont un véritable tonneau des Danaïdes qui pour être réformé suppose de regarder la réalité en face.
Le Gouvernement n’a cessé de déclarer ce week-end qu’il avait entendu les préoccupations des Français. Venant de ceux qui parlaient d’overdose fiscale et de pause fiscale, on peut en douter.
Le climat quasi-insurrectionnel, lui, est bien réel.
Axel Poniatowski
Député
Président de la Fédération
Nous écrire : lesrepublicains.cergy@gmail.com
sur Facebook : Groupe "Les Républicains Cergy"