Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 décembre 2014 5 12 /12 /décembre /2014 09:40
Tribune de Valérie Pécresse, NKM, François Fillon, Patrick Devedjian, et Gilles Carrez, Axel Poniatowski, Philippe Houillon...
 
En proposant de mettre en place un Passe Navigo unique à 70 € le 1er octobre 2015, à deux mois des élections régionales, le gouvernement et la région Ile-de-France présidée par Jean-Paul Huchon, ont fait un cadeau empoisonné aux Franciliens.
 
C'est un cadeau empoisonné car cette mesure coûte 550 millions d'euros (M€) par an. Compte tenu de la hausse du versement transport que vient de décider le Parlement, il reste 300 M€ par an à trouver pour financer ce Passe.
Jean-Paul Huchon nous dit que la région paiera, en redéployant ses crédits. Qui peut le croire alors que les dépenses régionales n'ont cessé d'augmenter depuis son arrivée à la tête de la collectivité il y a 16 ans. Rappelons que 300 M€, c'est 12 % des crédits de fonctionnement de la région, c'est aussi deux fois le budget qu'elle consacre chaque année à la rénovation des lycées. Qui peut en un an économiser autant ? Va-t-il licencier des fonctionnaires ? Va-t-il arrêter de chauffer les lycées ?
 
La vérité, c'est que le Passe à 70 € va immanquablement se traduire par des impôts en plus et des investissements en moins.
 
Couper 300 M€ par an dans les investissements, c'est condamner le Grand Paris et la modernisation des transports au moment où la filière ferroviaire française et ses 15.000 emplois sont en péril. Mettre en place le Passe à 70 €, c'est se priver des ressources qui permettraient, en 10 ans, de rénover toutes les lignes de RER. Un an de financement de ce Passe suffirait à financer l'électrification de la ligne Paris-Provins attendue depuis des décennies. D'ores et déjà, l'argent manque. Le prolongement de la ligne 11 à l'est et de la ligne E du RER à l'ouest sont de plus en plus incertains faute de financements.
 
Le Passe à 70 €, c'est aussi une mesure anti-emploi. Le versement transports est une taxe patronale qui est assise sur les salaires versés par les entreprises et les collectivités publiques de plus de 9 salariés de Paris, de la petite couronne et des principales communes de la grande couronne. C'est un impôt masqué sur le pouvoir d'achat car pour payer la hausse du versement transports, elles n'auront d'autre choix que de sacrifier les augmentations de salaires ou de freiner les recrutements. Est-ce réellement ce que nous voulons alors que pour la première fois le chômage augmente plus vite en Ile-de-France que dans le reste de la France ?
 
Les entreprises l'ont bien compris. Le MEDEF Ile-de-France et la CGPME ont publiquement dénoncé le Passe à 70 € et marqué leur incompréhension face à la position de la Chambre de commerce et d'industrie. Il est vrai que depuis 2012, les entreprises franciliennes ont été plus que largement sollicitées. Avec un milliard d'euros de taxes supplémentaires, en plus de toutes les mesures nationales, elles ont subi un véritable « martyr fiscal », pour reprendre l'expression du président de la commission des finances de l'Assemblée nationale, Gilles Carrez.
 
Avec le Passe à 70 €, à la fin, tout le monde est perdant.
 
C'est une mesure profondément injuste, faite pour...

Partager cet article

Repost0
11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 13:07
Réunis à Mériel ce mardi soir pour choisir ses quatuors en vue des élections départementales de mars 2015, les membres du Comité départemental de l’UMP 95 ont procédé à l'investiture de 42 candidats titulaires et leurs 42 suppléants.

Parmi les titulaires, l’UMP a investi 25 nouveaux candidats : Fatima Amarir, Rizlaine Oujjat, Armand Payet, Virgine Tinland-Petitdidier, Monique Merizio, Alexandre Pueyo, Muriel Scolan, Sébastien Meurant, Emilie Ivandecikcs, Xavier Haquin, Aurore Jacob, Agnès Rafaitin, Yannick Boedec, Michel Aumas, Anthony Arciero, Isabelle Rusin, Philippe Rouleau, Jeanne Docteur, Chantal Villallard, Pierre-Edouard Eon, Samira Aidoud, Laëtitia Boisseau, Marie-Paule Faucon, Philippe Debruyne et Marie-Dominique Maisonner.

Si l'essentiel des investitures s'est fait naturellement, sur 19 cantons, 2 duels ont donné lieu à un vote à bulletin secret, sur les cantons de Fosses et de Goussainville. Ainsi, le quatuor mené par Daniel Desse sur le canton de Fosses a été investi par 79 voix, contre 39 pour celui mené par Didier Guevel et 5 abstentions. En ce qui concerne le canton de Goussainville, le quatuor mené par Anthony Arciero a été investi par 107 voix contre 11, et 5 abstentions, face à l'équipe mené par Elisabeth Hermanville.
Enfin, à Garges-les-Gonesse, Michel Aumas a été investi seul, les 3 autres membres de sa liste étant en cours de négociation au sein de la majorité à Garges-les-Gonesse, en lien avec l’UDI. En 2011, le Val d'Oise avait été le seul département de France à basculer. Lors des scrutins de 2015, Axel Poniatowski, président de l'UMP 95 vise "15 cantons sur 21".

 

ARGENTEUIL 1
Marie-Evelyne CHRISTIN (Sannois) & Philippe METEZEAU (Argenteuil)
Suppléants : Julien BACHARD (Saint Gratien) - Anne BERNARDIN (Saint Gratien)


ARGENTEUIL 2
Xavier PERICAT (Argenteuil) & Fatima AMARIR (Argenteuil)

ARGENTEUIL 3
Olivier REGIS (Bezons) & Rizlaine OUJJAT (Argenteuil)
Suppléants : Mickael CAMILLERI (Argenteuil) - Evelyne HEYMAN (Bezons)


CERGY 1
Armand PAYET (Cergy) & Virginie TINLAND-PETITDIDIER (Osny)
Suppléants : Jean-Michel LEVESQUE (Osny) - Mireille MALONGA (Cergy)


CERGY 2
Monique MERIZIO (Eragny) & Alexandre PUEYO (Cergy)
Suppléants : Annie LERIQUE (Jouy-le-Moutier) - Frédéric PAIN (Neuville-sur-Oise)


DEUIL-LA-BARRE
Philippe SUEUR (Enghien-les-Bains) & Muriel SCOLAN (Deuil-La-Barre)
Suppléants : Patrick FLOQUET (Montmagny) - Marcelle CAYRAC (Brice-sous-Forêt)


DOMONT
Sébastien MEURANT (Saint-Leu-la-Forêt) & Emilie IVANDEKICS (Domont)
Suppléants : Gilles MENAT (Baillet-en-France)  - Pierre JEZEQUEL (Le Plessis-Bouchard)

ERMONT
Xavier HAQUIN (Ermont) & Aurore JACOB (Eaubonne)
Suppléants : Jacques CAZALET (Ermont) - Michèle RICAUD (Eaubonne)


FOSSES
Daniel DESSE (Viarmes) & Agnès RAFAITIN (Ezanville)
Suppléants : Patrice ROBIN (Villaines-sous-Bois) - Nadine GAMBIER (Fosses)


FRANCONVILLE
Marie-Christine CAVECCHI (Franconville) & Yannick BOËDEC (Cormeilles-en-Parisis)
Suppléants : Eva HINAUX (Franconville) - Pascal LAUGARO (Cormeilles-en-Cormeilles/UDI)

GARGES-LÈS-GONESSE

Michel AUMAS (Arnouville) & Cergya MAHENDRAN (Garges)
Suppléants : Benoit JIMENEZ (Garges) - Claude FERNANDEZ-VELIZ (Arnouville)
 
GOUSSAINVILLE
Anthony ARCIERO (Survilliers) & Isabelle RUSIN (Épiais- lès-Louvres)
Suppléants : Alain MOURGUE (Vémars) - Patricia HAUPAS (Louvres)


HERBLAY 
Philippe ROULEAU (Herblay) & Jeanne DOCTEUR (Montigny-lès-Cormeilles)
Suppléants : Modeste MARQUES (Montigny-lès-Cormeilles) - Linda SAGET (Herblay)

L'ISLE-ADAM
Arnaud BAZIN (Persan) & Chantal VILLALLARD (L’Isle-Adam)
Suppléants : Pierre BEMELS (Presles) - Corinne VASSEUR (Champagne-sur-Oise)

MONTMORENCY
Michèle BERTHY (Montmorency) & Luc STREHAIANO (Soisy-sous-Montmorency)
Suppléants : Nathalie ELIMAS (Margency) - Daniel FARGEOT (Andilly)

PONTOISE
Gérard SEMBILLE (Pontoise) & Eveline BOSSU (Chars)
Suppléant : Antoine SAVIGNAT (Pontoise)


ST-OUEN-L'AUMONE 
Pierre Edouard EON (Mery-sur-Oise) & Véronique PELISSIER (Saint-Ouen-L’Aumône)

SARCELLES 
Marc SONNET (Sarcelles) & Samira AIDOUD (Sarcelles)
Suppléants : Raphaël HASSINE - Chantal GROLIER

TAVERNY
Gérard Lambert Motte (Le Plessis-Bouchard) & Laëtitia BOISSEAU (Taverny)
Suppléants : Eric BOSC (Pierrelaye) - Laurence GRESILLON (Bessancourt)


VAUREAL
Guy PARIS (Sagy) & Marie-Paule FAUCON (Vauréal)
Suppléants : Jean-François RENARD (Villers-en-Arthies) - Lydie VANTORNOUT (Courdimanche)

VILLIERS-LE-BEL
Philippe DEBRUYNE (Gonesse) & Marie-Dominique MAISONNER (Gonesse)
Suppléants : Patrice GEBAUER (Le Thillay) - Cécile CALAS (Bouqueval)
 
Lire l'article sur le site Vonews.fr en suivant ce lien

Partager cet article

Repost0
1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 13:54
Le 29 novembre 2014, l’UMP aura mis fin à la période la plus pénible de son histoire.
 
L’élection de Nicolas Sarkozy, après une campagne digne et un scrutin qui s’est parfaitement déroulé, permet au premier parti d’opposition d’envisager l’avenir en se concentrant sur ce qui aurait dû rester sa mission première : combattre sans relâche la politique de la gauche qui conduit notre pays à la ruine.
 
Qu’il s’agisse d’Hervé Mariton, de Bruno Le Maire et bien entendu de Nicolas Sarkozy, chacun a montré durant cette campagne la force de son engagement tout en respectant l’adversaire, mais aussi les différentes lignes de réflexion sur lesquelles un grand parti comme le nôtre doit se positionner, de manière intelligente et claire.
 
L’élection de Nicolas Sarkozy, avec un score net de 64,5% réunissant 100 000 votants, donne au nouveau Président de l’UMP une légitimité incontestable qui sans elle rendrait impossible toute reconstruction de notre famille de manière sereine et apaisée. Cette légitimité renforce par ailleurs la voix et le poids de l’opposition dans son combat contre le Gouvernement et sa majorité bringuebalante.
 
Le bon score de Bruno Le Maire est également le gage d’une UMP rassemblée, bien sûr en termes de personnalités, mais également sur le plan des idées, l’UMP ne devant pas être une caricature d’elle-même soumise aux critiques récurrentes de dérive droitière. Une UMP rassemblée dans son organisation, une UMP équilibrée dans son projet, c’est l’UMP que nous attendons. Alors bien entendu cela suppose que tout le monde s’attèle à la tâche, sincèrement, convaincu qu’une UMP en ordre de marche, qui organisera des primaires ouvertes pour désigner le candidat de la droite et du centre aux élections présidentielles de 2017 est la meilleure garantie du succès, pour tous.
 
Mais comme le rappelait Nicolas Sarkozy dimanche soir, avant 2017 il y a 2016 et avant 2016 il y a 2015. Et en 2015, nous avons les élections départementales en mars puis régionales en décembre. Ces élections non seulement seront un test supplémentaire après les municipales de 2014 de notre capacité à offrir une alternative politique, à ancrer le Val d’Oise puis l’Ile-de-France à droite et ainsi leur donner un nouveau souffle et une nouvelle ambition. Le comité départemental se réunira à cette fin le 9 décembre à MERIEL pour investir nos candidats aux élections départementales.
 
L’élection du Président de l’UMP est la première étape de cette reconstruction tant attendue. A nous tous maintenant de prouver que notre famille politique, quel que soit son nom futur, est digne de retrouver la confiance des Français
 
 
Axel Poniatowski
Député et Président de l'UMP 95

Partager cet article

Repost0
3 novembre 2014 1 03 /11 /novembre /2014 09:51
Au lendemain de la confirmation par Manuel Valls, lors de son discours au Sénat sur la réforme territoriale, de la date des prochaines élections départementales qui auront donc lieu les 22 et 29 mars 2015, l’UMP 95 est en passe d’achever son processus de désignation de ses candidats.
 
Ainsi, conformément à notre procédure, j’ai décidé de convoquer le bureau départemental de l’UMP le 26 novembre prochain afin d’arrêter les propositions de candidatures sur l’ensemble des cantons du département. Ces propositions du bureau départemental seront ensuite soumises au vote du Comité départemental qui se réunira le 9 décembre à 20h à Mériel.
 
Ces propositions sont le fruit d’un travail engagé depuis le mois de juin et conduit par les sénateurs Francis Delattre et Hugues Portelli que j’ai mandatés spécialement, en lien avec les députés UMP du département.
 
Les candidats de l’UMP ou soutenus par l’UMP sont tous sélectionnés en fonction de trois critères de fond :
 
  • La compétence
  • L’engagement
  • Le renouvellement
 
Plus que jamais, l’UMP 95 veille à investir des candidats de qualité qui seront à même de valoriser et de développer notre département, notre objectif étant de remporter au moins 15 cantons sur 21 en mars prochain.
 
Après des élections municipales qui nous ont permis de conquérir ou reconquérir la plupart des villes du Val d’Oise, l’UMP compte bien continuer sur sa lancée et ancrer solidement à droite notre département.
 
Et sur ce point, j’ai toutes les raisons d’être confiant.
 
 
Axel Poniatowski
Député et Président de la Fédération UMP du Val d'Oise

 

 
PS : sur la canton de Cergy 2 Monique Merizio et Alexandre Pueyo sont candidats à l'investiture (voir leur annonce ici)

Partager cet article

Repost0
7 octobre 2014 2 07 /10 /octobre /2014 13:41
Des enfants fatigués voire déboussolés pour les plus jeunes d’entre eux, des enseignants qui doivent s’adapter et des parents contraints de s’organiser, tel est le premier bilan de la réforme des rythmes scolaires imposée par l’Etat.
 
Alors que cette réforme se met douloureusement en place, au prix d’une surcharge de travail sans précédent pour les services municipaux, sans parler du coût en tant que tel qu’il représente à la charge de la ville, nous pensions que nous avions touché le fond en termes d’impréparation et de mépris de l’Etat vis-à-vis des collectivités locales.
 
Et bien non ! Non content d’avoir lourdement désorganisé les services scolaires de toutes les villes de France, le Ministère de l’Education Nationale n’a rien trouvé de mieux que d’imposer le mercredi 15 octobre comme journée de formation à tous les enseignants, sans aucune concertation bien entendu. Or quel est l’objet de la réforme des rythmes scolaires ? Précisément de faire travailler les enfants le mercredi matin ! Résultat : une matinée de plus que les communes vont devoir prendre à leur charge puisque, évidemment, l’Education Nationale n’a rien prévu en ce qui concerne la prise en charge des enfants…
 
Cela n’est plus possible. Il est temps de dire stop à tant de mépris des collectivités locales et de faire respecter l’état de droit. C’est la raison pour laquelle, j’enverrai au Ministère de l’Education Nationale en tant que maire de l’Isle-Adam la facture correspondant au coût pour la commune de cette prise en charge supplémentaire. J’invite toutes les communes du Val d’Oise mais également de France à faire de même.
 
Ce mercredi 15 octobre pourrait bien être la goutte qui fait déborder le vase.
 
 
Axel Poniatowski
Député et Président de la Fédération UMP du Val d'Oise

Partager cet article

Repost0
19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 09:10
Tout ça pour ça, c'est la formule qui peut résumer la semaine politique malheureusement.
 
Entre le vrai-faux suspense de la vrai fausse confiance à Manuel Valls dont le discours ne s'adressait ni aux Français ni aux députés, ni même à sa majorité mais bien aux seuls frondeurs, et la conférence de presse d'un François Hollande qui, sur le ton de l'aveu, n'a plus pour ambition que « d'espérer » que ça aille mieux en 2017, tout cela en dit long sur l'incapacité de ce Président et de ce gouvernement de tenir les rênes du pays.
 
Oui M. Hollande, tout le monde savait que ce serait dur. Depuis 2008 la crise frappe durement, rendant la nécessité de réformer la France plus impérative encore mais aussi plus difficile. D'abord dans le déni le plus complet, François Hollande semble seulement aujourd'hui s'apercevoir de l'ampleur de la tâche...et douter de sa capacité à la surmonter, tout en expliquant que ce n'est pas de sa faute mais bien de celle de tout le monde sauf lui.
 
Que François Hollande ne soit pas à la hauteur du job, tout le monde le savait. Même son propre camp. Ce qui est grave, c'est que la France a déjà perdu deux ans et demi. Et non seulement notre pays ne va pas mieux mais la situation s'aggrave à force au mieux d'absence de décision, au pire de décisions démagogiques, à contre sens de ce que la réalité commande.
 
La conférence de presse d'hier en est à cet égard encore un bel exemple avec l'annonce démagogique de la suppression de la première tranche d'impôt sur le revenu, impôt républicain et juste car progressif que déjà seuls 50% de Français payent.
 
Alors, 2017 année de l'espoir ? Assurément, à tous points de vue...
 
 
Axel Poniatowski
Député et Président de la Fédération UMP du Val d'Oise

Partager cet article

Repost0
11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 13:56
Les rentrées sont faites pour les bonnes résolutions. Elles devraient être nombreuses, tant à gauche qu’à l’UMP et l’on était en droit d’espérer, ne serait-ce que pour notre pays, un sursaut.
 
Au lieu de quoi, la rentrée fut marquée par le psychodrame du remaniement visant à punir les mauvais élèves Montebourg et Hamon, des Universités d’été du PS où les militants ont hué le Premier Ministre pourtant issu de leurs rangs, ce qui est au passage du jamais vu, le passage éclair d’un Secrétaire d’Etat qui oubliait juste de payer ses impôts, sans parler des frasques étalées sur papier glacé puis dans les librairies, de la vie d’un Président qui au lieu d’être normal ruine l’image présidentielle et l’abaisse à des niveaux inégalés, à l’instar de sa côte de popularité qui n’est aujourd’hui plus que de 13% !
 
Pendant ce temps là, l’UMP reste convalescente. L’annonce du retour ou non de Nicolas SARKOZY est évidemment un élément clé auquel notre famille politique est suspendue. Le suspense devrait rapidement prendre fin, et au-delà du choix de chacun, c’est une période importante qui s’ouvrira pour l’UMP car le congrès de cet automne sera celui de la refondation qui seul nous permettra non seulement d’être légitime mais d’être organisé pour affronter les échéances à venir. Cette remise à plat doit être profonde, notre organisation doit être plus décentralisée, nos cadres professionnalisés et renouvelés, nos fédérations départementales dynamisées. Cette refondation peut même, je le pense, nous amener à changer de nom, tant l’image de notre parti s’est dégradée depuis deux ans.
 
L’annonce d’Alain JUPPE de se porter candidat aux primaires de 2016 pour être le candidat de la droite aux élections présidentielles est en soi une bonne chose car seules ces primaires, qui devront être ouvertes au centre, permettront de donner la légitimité, le souffle de la victoire et la capacité de rassemblement nécessaires au combat présidentiel au candidat qui en sera issu.
 
La torpeur de l’été est déjà bien loin et le récit chaotique de la présidence Hollande a repris ses droits, mais pour combien de temps ? Dans ce contexte, il est urgent que l’UMP reprenne sa place de premier parti d’opposition. Telle doit être notre bonne résolution de cette rentrée.
 
Nous avons trois mois pour le faire.
 
 
Axel Poniatowski
Député et Président de lé Fédération UMP du Val d'Oise

Partager cet article

Repost0
3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 18:49
Axel Poniatowski (UMP) continue de militer pour une indemnisation des usagers et des commerçants de la gare Cergy-Préfecture, fermée pendant 7 semaines cet été. Le député du Val d’Oise a reçu le soutien de Frédéric Vernhes, président de la Chambre du Commerce et de l’Industrie du Val-d’Oise.
 

Possible bonne nouvelle pour les commerçants de la gare de Cergy-Préfecture. Après avoir interpellé via une lettre le président de la SCNF Guillaume Pépy le 28 juillet dernier, Axel Poniatowski a reçu le soutien de Frédéric Vernhes, président de la Chambre du Commerce et de l’Industrie du Val-d’Oise (CCI). « Je vous remercie de nous avoir sensibilisés sur ces travaux et leurs désagréments, a écrit le président de la Chambre au député du Val-d’Oise. La CCI Val-d’Oise peut mettre en place une Commission d’Indemnisation à l’Amiable (CIA). »

Lors de sa lettre à Guillaume Pépy, Axel Poniatowski avait demandé la création de cette commission, « pour évaluer l’impact de la fermeture de la gare cet été et l’été prochain sur le chiffre d’affaires des artisans et commerçants et proposer des indemnisations. » La CCI est donc compétente en la matière : l’institution a déjà créé des commissions pour d’autres travaux dans le département, à Sarcelles, Franconville ou encore Montmagny.

 

Lire l'article directement sur le site de Vonews.fr

Partager cet article

Repost0
18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 17:10
Voici deux articles de La Gazette du Val d'Oise du mercredi 13 août 2014 sur la situation après la fermeture de la Gare de Cergy-Préfecture et les demandes de notre député qui en découlent.
 
Retrouvez le dossier complet sur ce sujet en cliquant ici.
 
Bonne lecture,
 
Alexandre Pueyo
Responsable UMP de Cergy
 
 
Fermeture de la gare de Cegy-Préfecture : Poniatowski veut que les usagers et les commerçants soient indemnisés
Le député (Ump) de la 2ème circonscription vient d'écrire au président de la Sncf
 
Axel Poniatowski, député de la 2ème Circonscription du Val d’Oise, écrit à Guillaume Pepy, Président de la SNCF, afin de lui demander :
- une réévaluation sérieuse de l’indemnisation des usagers de la gare de Cergy Préfecture suite à la fermeture pour travaux de la gare pour un mois et demi.
- la création d’une Commission de règlement amiable en faveur des artisans et commerçants locaux afin d’évaluer l’impact de cette fermeture sur leur chiffre d’affaires et de proposer des indemnisations, comme il est d’usage dans ce type de situation.
Il rappelle qu’une nouvelle fermeture pour une 2ème tranche de travaux aura lieu en 2015 pour laquelle il faudra anticiper et reconduire le processus.
 
Cergy-Préfecture : La gare fantôme & Poniatowski veut que les usagers et les commerçants soient indemnisés (La Gazette)
Cergy-Préfecture : la gare fantôme
La gare des lignes A et L est fermée aux usagers du 14 juillet jusqu'au 30 août pour cause de travaux.
 
Ce ne sont pas moins de sept semaines de galère que s’apprêtent à vivre les habitués de la gare de Cergy-Préfecture. Du 14 juillet au soir jusqu’au 30 août, la gare du Rer A et de la ligne L sera fermée pour cause de travaux. Un système de navettes destiné à rallier les gares voisines a été mis en place par la Sncf afin que le quotidien des milliers d’usagers des lignes A et L ne vire pas au cauchemar. Coup de zoom sur un été qui s’annonce déjà très chaud…
 
Sncf, c’est possible. le slogan de l’entreprise publique n’aura jamais été autant d’actualité. Du 14 juillet au soir jusqu’au 30 août, la gare de Cergy-Préfecture sera fermée au public. Pendant sept longues semaines, les usagers de cette gare du Rer A et de la ligne L, fréquentée par 21 000 personnes chaque jour et quelque 16 000 l’été, seront invités, via des navettes, à se rendre dans les gares voisines de Pontoise, Neuville-Université, Cergy Saint-Christophe, Cergy-le-Haut ou encore Achères et Conflans-Fin-d’Oise (Yvelines) pour rejoindre leur lieu de travail.
Rff (Réseau Ferré de France) profite de la période des vacances, qui enregistre une baisse de la fréquentation des voyageurs, pour procéder à la réfection des protections anti-feu des plafonds et au remplacement de l’éclairage d’une gare qui, dans le cadre du schéma directeur Rer A, va bénéficier d’un vaste programme de modernisation d’ici fin 2018. Coût du chantier : 12,5 millions d’euros.
Si la gare sera fermée et que les rames ne marqueront plus l’arrêt à Cergy-Préfecture, le trafic continuera sur une seule voie tout au long des travaux. Conséquence : il y aura seulement trois trains contre les huit habituels en circulation aux heures de pointe entre Nanterre-Préfecture et Cergy-le- Haut et entre Nanterre-Préfecture et Poissy. Sur la ligne L (Paris-Saint-Lazare-Cergy-le-Haut), tous les trains seront terminus à Maisons-Laffitte (Yvelines). Aucune rame ne circulera donc entre la commune du 78 et Cergy-le-Haut. Ce chantier estival n’est que le premier chapitre d’un vaste programme de réhabilitation d’une gare vouée à devenir un «pôle intermodal».
En 2016, ce sont les escalators de la gare qui seront remplacés avant une refonte de la signalétique et une mise aux normes d’accessibilité pour les handicapés, fin 2018.
Afin d’éviter que l’été des usagers de la gare ne vire au cauchemar, la Sncf a mis en place un service de navettes de substitution. 600 rotations de bus chaque jour de la semaine sont annoncées de 4h30 jusqu’à 2h du matin. Par ailleurs, une centaine d’agents de la Sncf seront présents dans les différentes gares concernées durant toute la durée des travaux afin d’informer les voyageurs désorientés et parfois en colère. Des usagers qui vont devoir s’adapter s’ils ne veulent pas rester à quai.
 

Partager cet article

Repost0
5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 07:08
"Le député Axel Poniatowski (UMP) a écrit au président de la SNCF Guillaume Pepy, pour demander l'indemnisation des usagers et des commerçants de la gare de Cergy-Préfecture, fermée depuis le 15 juillet (et jusqu'au 30 août) pour travaux. L'élu demande que..."
Gare de Cergy : Poniatowski demande l'indemnisation des voyageurs et commerçants (Le Parisien)

Partager cet article

Repost0

Nous contacter

Nous écrire : lesrepublicains.cergy@gmail.com

sur Facebook : Groupe "Les Républicains Cergy"

Recherche