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Chers adhérents,
Nous avons le plaisir de vous annoncer aujourd'hui le lancement beta de Direct Citoyen !
Direct Citoyen est la première application mobile de démocratie directe lancée par un parti politique français. C'était un engagement de notre Président. C'était une demande forte de tous nos adhérents. C'est désormais une réalité.
En tant qu'adhérent, vous serez invité à voter les nouveaux statuts ainsi que le nouveau nom de notre famille politique, les Républicains. Le vote aura lieu par voie électronique, sur Direct Citoyen ou bien sur votre ordinateur. Vous recevrez une notification avec plus d'informations le matin du vote.
Téléchargez l'application Direct Citoyen dès aujourd'hui pour pouvoir prendre part au débat et participer facilement à ce vote extrêmement important à la fin du mois. (Veuillez inscrire la même adresse mail que celle utilisée lors de votre adhésion).
Merci et à bientôt !
Frédéric Péchenard
Directeur général
Chers amis,
Si vous avez adhéré à notre mouvement, c’est pour forger l’avenir de la France que nous aimons. C’est de votre engagement, de vos idées et de votre enthousiasme que dépendent la vitalité de notre famille politique et l'alternance en 2017.
C’est pourquoi j’ai l’immense plaisir de vous convier à notre Congrès Fondateur le 30 mai 2015.
Dans notre nouvelle famille politique, je souhaite vous donner la parole et vous mettre au cœur de ce grand mouvement de modernisation. La refondation de notre famille politique est une étape essentielle pour construire cette alternance républicaine dont notre pays a tant besoin. Ensemble, nous allons créer les conditions d’un nouvel espoir pour la France.
Serez-vous parmi nous ?
Merci pour votre mobilisation. J'ai hâte de vous retrouver le 30 mai.
Nicolas Sarkozy,
Président de l'UMP
A force d’idéologie et malgré l’opposition farouche des professionnels mais également des députés de la droite et du centre à l’Assemblée nationale, le Gouvernement s’est arc-bouté sur sa réforme de santé qui s’annonce comme l’une des plus déstabilisantes du quinquennat. En effet, sous couvert de bons sentiments, de pseudo-simplification des procédures ou de pseudo gratuité au travers du tiers-payant généralisé, l’étatisation de notre système de santé, lui, n’est pas un faux-semblant mais une réalité qui va profondément déstabiliser l’offre de soins en France.
Que prévoit ce texte ? Outre la généralisation du tiers-payant contre lequel les parlementaires du groupe UMP ont voté, ce texte prévoit la création ni plus ni moins d’un tribunal administratif pour sanctionner en direct les médecins libéraux, la création de postes de médecins salariés en ville, qui n’auront ni le choix du salaire ni le choix du lieu d’exercice ou encore la création de centres contrôlés par l’administration. Ce sont autant d’éléments qui témoignent de cette volonté de fonctionnariser les médecins et d’étatiser la politique de santé.
Cette marche funeste aura malheureusement plusieurs conséquences. D’abord, comme nous pouvons le constater dans de nombreux pays étrangers, cette réforme va conduire inexorablement à une pénurie de l’offre de soins et à la multiplication des files d’attente. La deuxième conséquence, c’est en réalité l’institutionnalisation d’un système de santé pour riches à côté d’un système de santé pour pauvres, ceux-là mêmes qui n’auront pas d’autre choix que de se contenter d’un système de santé public subventionné qu’auront fui les meilleurs médecins.
Cette réforme est d’autant plus inacceptable que nous avons sous nos yeux l’exemple du système de santé étatisé anglais dont aucun Français ne voudrait pour rien au monde : huit semaines en moyenne pour être admis à l’hôpital, refus d’accès à certains médicaments car jugés trop chers par l’administration.
La loi de Marisol Touraine n’est ni plus ni moins que la mise à mort du modèle français de santé dans un grand mouvement de dévalorisation de la profession de médecin et du système de santé dans sa globalité. C’est la raison pour laquelle, bien au-delà du seul article 18 relatif au tiers-payant, mesure urticante pour les médecins il est vrai, les députés du groupe UMP ont unanimement voté contre le projet de loi santé dans son ensemble lors du vote solennel du 14 avril dernier, qui inclut par définition le fameux article 18.
L’opposition s’est donc opposée à ce qu’elle estime être une grave dérive de notre système de santé mais il n’aura probablement pas échappé aux professionnels que l’opposition n’est par définition pas majoritaire et qu’en réalité tout ceci ne se serait pas produit si François Hollande n’avait pas été élu un certain mois de mai 2012...
EXCLUSIF - Dans un entretien au «Figaro», l'ancien chef de l'État dénonce le bilan de François Hollande. Il défend le rôle clé de l'entreprise et prône une réduction simultanée des dépenses publiques et des impôts.
LE FIGARO. - Croissance, chômage… le gouvernement se félicite de l'amélioration des conditions économiques actuelles. C'est aussi votre analyse ?
Nicolas SARKOZY. - Hélas, non. Je veux d'abord rappeler des chiffres incontestables qui illustreront le bilan de François Hollande. Depuis que les statistiques existent, c'est la première fois que la France enchaîne trois années de croissance quasi nulle: 0,3 % en 2012, 0,3 % en 2013 et 0,4% en 2014. On n'avait jamais assisté à un tel décrochage avec nos principaux partenaires européens. C'est aussi la première fois que le nombre de défaillances d'entreprises est supérieur à 60.000 par an deux années de suite. C'est encore la première fois que les dépenses publiques représentent 57 % du PIB et les prélèvements obligatoires 45 %. L'écart par rapport aux autres pays européens est devenu énorme: 7 points de PIB ou 140 milliards d'euros par an d'écart en matière de dépenses publiques par rapport à la moyenne européenne et près de 8 points de PIB en matière de prélèvements obligatoires, soit plus de 150 milliards par rapport à l'Allemagne. Voici où nous ont conduits les trois années du mandat de François Hollande.
Cependant, le chômage a baissé en janvier…
Comment pouvez-vous vous laisser abuser? La France compte près de 6 millions de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi dans toutes les catégories. Ici encore, du jamais vu. La baisse de 19.100 chômeurs à la fin du mois de janvier - dont je me réjouis naturellement - dans la seule catégorie A n'est rien comparée à la hausse de 193.400 chômeurs enregistrée au cours de la seule année 2014 et à celle des quelque 590.000 chômeurs supplémentaires depuis...
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