Chers amis,En ce début d’année 2016, je tiens à présenter tous mes voeux de santé d’abord, de bonheur et de réussite personnelle et professionnelle ensuite à chacun d’entre vous ainsi qu’à vos familles et vos proches. J’espère que vous avez pu prendre un repos mérité après une campagne régionale pour laquelle nombre d’entre vous n’auront pas ménagé leurs efforts mais qui auront été récompensés par une magnifique victoire.Nous laissons dernière nous 2015, sans regret particulier il faut le dire, nous sommes pleins d’espoir en revanche pour cette nouvelle année dont je forme le voeu qu’elle soit placée sous le signe de l’action, de l’ambition mais aussi de l’union. Il revient à chacune et à chacun d’entre nous que ce voeu se réalise et je sais pouvoir compter sur l’engagement de tous pour que 2016 devienne l’année de tous les possibles.Axel PoniatowskiDéputé et Président de la Fédération LR du 95
Chers amis,
Si vous avez adhéré à notre mouvement, c’est pour forger l’avenir de la France que nous aimons. C’est de votre engagement, de vos idées et de votre enthousiasme que dépendent la vitalité de notre famille politique et l'alternance en 2017.
C’est pourquoi j’ai l’immense plaisir de vous convier à notre Congrès Fondateur le 30 mai 2015.
Dans notre nouvelle famille politique, je souhaite vous donner la parole et vous mettre au cœur de ce grand mouvement de modernisation. La refondation de notre famille politique est une étape essentielle pour construire cette alternance républicaine dont notre pays a tant besoin. Ensemble, nous allons créer les conditions d’un nouvel espoir pour la France.
Serez-vous parmi nous ?
Merci pour votre mobilisation. J'ai hâte de vous retrouver le 30 mai.
Nicolas Sarkozy,
Président de l'UMP
A force d’idéologie et malgré l’opposition farouche des professionnels mais également des députés de la droite et du centre à l’Assemblée nationale, le Gouvernement s’est arc-bouté sur sa réforme de santé qui s’annonce comme l’une des plus déstabilisantes du quinquennat. En effet, sous couvert de bons sentiments, de pseudo-simplification des procédures ou de pseudo gratuité au travers du tiers-payant généralisé, l’étatisation de notre système de santé, lui, n’est pas un faux-semblant mais une réalité qui va profondément déstabiliser l’offre de soins en France.
Que prévoit ce texte ? Outre la généralisation du tiers-payant contre lequel les parlementaires du groupe UMP ont voté, ce texte prévoit la création ni plus ni moins d’un tribunal administratif pour sanctionner en direct les médecins libéraux, la création de postes de médecins salariés en ville, qui n’auront ni le choix du salaire ni le choix du lieu d’exercice ou encore la création de centres contrôlés par l’administration. Ce sont autant d’éléments qui témoignent de cette volonté de fonctionnariser les médecins et d’étatiser la politique de santé.
Cette marche funeste aura malheureusement plusieurs conséquences. D’abord, comme nous pouvons le constater dans de nombreux pays étrangers, cette réforme va conduire inexorablement à une pénurie de l’offre de soins et à la multiplication des files d’attente. La deuxième conséquence, c’est en réalité l’institutionnalisation d’un système de santé pour riches à côté d’un système de santé pour pauvres, ceux-là mêmes qui n’auront pas d’autre choix que de se contenter d’un système de santé public subventionné qu’auront fui les meilleurs médecins.
Cette réforme est d’autant plus inacceptable que nous avons sous nos yeux l’exemple du système de santé étatisé anglais dont aucun Français ne voudrait pour rien au monde : huit semaines en moyenne pour être admis à l’hôpital, refus d’accès à certains médicaments car jugés trop chers par l’administration.
La loi de Marisol Touraine n’est ni plus ni moins que la mise à mort du modèle français de santé dans un grand mouvement de dévalorisation de la profession de médecin et du système de santé dans sa globalité. C’est la raison pour laquelle, bien au-delà du seul article 18 relatif au tiers-payant, mesure urticante pour les médecins il est vrai, les députés du groupe UMP ont unanimement voté contre le projet de loi santé dans son ensemble lors du vote solennel du 14 avril dernier, qui inclut par définition le fameux article 18.
L’opposition s’est donc opposée à ce qu’elle estime être une grave dérive de notre système de santé mais il n’aura probablement pas échappé aux professionnels que l’opposition n’est par définition pas majoritaire et qu’en réalité tout ceci ne se serait pas produit si François Hollande n’avait pas été élu un certain mois de mai 2012...
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