Thierry Sibieude veut casser les codes. Le candidat Udi aux municipales de mars 2014 vient de lancer le site “jechangedemaire.com”. But de la manœuvre : mettre en place une nouvelle stratégie de communication «adaptée au contexte politique, mais proposant un mode d’information décalé, synthétique, connecté à la réalité de ce que vivent les gens, capable de susciter l’intérêt et de créer le buzz, en somme de stimuler un électorat désabusé».
Pour ouvrir les hostilités, le prof de l’Essec a choisi deux images «chocs» censées traduire «l’usure du système cergyssois», en place depuis 1989. La première montre une 205 Gti de 1993, rutilante et prête à dévorer le bitume. À côté, la même voiture vingt ans plus tard… Et un slogan tout trouvé pour enrober le tout : “En 20 ans, les choses se sont usées. À Cergy, ce sont les idées”. Même concept pour la seconde affiche avec, cette fois, un portable ancienne génération et en vis-à-vis un smartphone. L’ensemble souligné du slogan : “En 20 ans, les technologies ont évolué. À Cergy, l’action municipale ne s’est pas renouvelée”. Chaque mois jusqu’aux municipales, une affiche au minimum sera publiée sur jechangedemaire.com et sur Facebook. Les Cergyssois sont, eux aussi, invités à jouer et à réaliser leur propre affiche. «Pas de lots» à gagner «mais la chance de voir son œuvre et ses idées partagées en ligne», indique Thierry Sibieude. On parie que le béton sera un des prochains thèmes de cette campagne de com’ d’un nouveau genre…
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Alors que le ministère de la Culture a décidé de transférer les réserves du Louvre à Lens, mettant un terme au projet de création d'un Centre national des patrimoines à Cergy-Pontoise, Alexandre Pueyo, chef de file de l'opposition UMP de Cergy dénonce « une triple claque ».
Le délégué UMP de la 2e circonscription du Val d'Oise juge ainsi que la « désillusion est à la hauteur des espoirs ». Une première « claque » selon lui pour Cergy-Pontoise dont les élus s'étaient mobilisés au delà des clivages politiques pour obtenir les réserves du Louvre.
Seconde désillusion pour Alexandre Pueyo, le fait que la décision a privilégié Lens au détriment d'une ville de banlieue parisienne. « Bel exemple d'aménagement du territoire équilibré et de politique de la ville. La banlieue est une priorité pour la gauche surtout dans les discours », se désole-t-il.
Dernière « claque » ... lire la suite
Grâce à Antoine nous pouvons vous conseiller la lecture de cet article très interressant de "La Croix" portant sur les villes nouvelles et plus particulièrement la notre : Cergy-Pontoise.
" La France a lancé ses derniers projets de villes nouvelles en 1973. Neuf sont sorties de terre.
Même si elles n’ont pas tenu toutes leurs promesses, elles continuent de se développer, à l’image de Cergy-Pontoise
Depuis la fenêtre de son salon, Marc Kieny a une vue directe sur son jardinet, où fleurit un cerisier. En 1972, quand il est venu pour la première fois dans ce coin du Val-d’Oise, il se souvient avoir surtout vu de la boue et des grues.« C’était un dimanche après-midi, il pleuvait à verse », précise-t-il.
Ce jeune retraité a été parmi les premiers habitants de ce qui s’appelait encore la « ville nouvelle de Cergy-Pontoise », un des neuf grands projets urbains sortis de terre à partir de la fin des années 1960 à l’initiative de l’État. Sur le territoire de 15... "
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Candidat (UDI) à la mairie de Cergy, Thierry Sibieude propose « la construction d’un palais des congrès »
Thierry Sibieude est également revenu sur sa candidature aux élections municipales de Cergy en 2014, sur l’antenne de VOtv. Le candidat UDI, soutenu par l’UMP, veut « créer les conditions pour que les entreprises reviennent à Cergy. » Et pour cela, il propose la création d’un « palais des congrès, véritable outil pour dynamiser l’activité économique. » Il songe à deux endroits pour l’installer : « Reconstruire sur le Hall Saint-Martin, mais il faudra dans ce cas travailler avec le maire de Pontoise, ou bâtir sur la parcelle Hirsch. » Enfin, le conseiller général veut réindustrialiser les zones d’activité environnantes. « Les industries n’ont pas été suffisamment attirées par facilités, regrette-t-il. Il est possible d’accueillir de l’activité industrielle en respectant le cadre de vie, la santé des gens et l’environnement. Ce n’est qu’une question de volonté politique.
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Le vice-président du Conseil général du Val d’Oise sera présent jeudi lors de la présentation du troisième plan autisme par Marie-Arlette Carlotti, ministre déléguée chargée des Personnes handicapées, à Gonesse. Invité sur le plateau de VOtv, Thierry Sibieude qui est également le fondateur de l’association « La Clé pour l’Autisme » attend beaucoup de ce plan : « Nous avons du retard en France sur cette question. »
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L’opposition a posé la question sans obtenir de réponse
Le consei municipal extraordinaire consacré au Grand centre a été l’occasion d’une passe d’armes entre majorité et opposition. Après une présentation des grandes lignes du projet de refonde de Cergy-préfecture par le cabinet Leclercq et les explications de texte de Jean-Paul Jeandon, le maire Ps de Cergy, et de Dominique Lefebvre, le patron de l’agglo cergypontaine, Thierry Sibieude (Pr), chef de file de l’opposition, a pris la parole pour préciser la position du Conseil général, dont il est vice-président, et de la minorité. « ce projet est le résultat de 17 ans d’inaction » a attaqué l’élu avant de réclamer davantage de « places de parking » et la création d’un « palais des congrès afin de placer l’activité économique au cœur de l’agglomération »
800 millions d’euros ?
Jugeant le projet « très ambitieux », Thierry Sibieude s’est ensuite interrogé sur le coût de la refonte du Grand centre. « J’aimerais avoir quelques élements chiffrés sur ce projet. On a parlé de 600 à 800 millions d’euros, qu’en est-il exactement ? Vous ne donnez aucun chiffre. Une chose est de dire ‘’nous trouverons les moyens ‘’, moi j’aimerais savoir quelles sont les pistes pour mettre en place l’équilibre financier de l’opération ».
La ripose est venue de Dominique Lefebvre. L’ex-maire de Cergy n’a pas mâché ses mots, très irrité par l’intrusion du Conseil général dans un dossier cergysso-cergypontain.
« Vous êtes hors sujet et dans la confusion. Vous ne maîtrisez pas vos dossiers. Il est totalement incohérent de vouloir créer un palais des congrès. Le Conseil général peut décider de ne pas financer ce projet mais il ne décidera pas à la place de Cergy-Pontoise » à lâché le socialiste sans jamais indiquer combien coûterait la requalification du Grand centre.
Quelques minutes auparavant, il avait confié que ce projet avait « un modèle économique » « Nous trouverons ce modèle économique. C’est l’ambition qui doit permettre de régler la question financière. » La refonte du Grand centre a été adoptée par la majorité et l’opposition.
Jérôme CAVARETTA.
La Gazette du Val d’Oise – 10/04/13
www.gazettevaldoise.fr
Le leader de l’opposition cergyssoise se lance dans la bataille des municipales. Quelques semaines après son meeting de lancement de campagne, il dégaine à nouveau! Il revient sur l’actualité de la ville au micro de Cergyvie. Un entretien à écouter en podcasts.
« Convaincre et commencer à formuler un programme » Le candidat affiche ses ambitions : gérer la ville de Cergy et l’agglomération de Cergy-Pontoise… « Je n’ai pas de bilan à défendre, je suis le challenger! » Le conseiller général de Cergy-Nord se fixe comme priorités : les problèmes de transport du RER A et d’emploi....
Lire et écouter la suite de l'interview sur le site de Cergyvie en cliquant ICI
Cergy-Pontoise
A gauche comme à droite, on fustige ses déclarations
Les responsables val-d’oisiens du Parti de gauche avaient ouvert le feu dès l’annonce des aveux de Jérôme
Cahuzac, dénonçant le ton « compatissant » de Dominique Lefebvre envers l’ancien ministre du Budget dont il est proche. Depuis, le député (PS) de Cergy a continué à
prendre sa défense. C’est même le seul à oser le faire publiquement. « Je suis en accord avec moi-même, je ne me cache pas : j’aurais honte de ne pas rester l’ami de Jérôme Cahuzac, même si je le
juge sévèrement » explique-t-il (notre édition de jeudi).
D’autres élus n’ont pas manqué de réagir à ses déclarations. Le conseiller général (PR) Thierry Sibieude,
candidat déclaré de la droite aux municipales à Cergy, lui a ainsi recommandé « une plus grande sobriété médiatique, pour éviter tout amalgame ». « Quand je regarde la liste de ceux que le député
soutient invariablement depuis des mois - Dominique Strauss-Kahn, Martine Aubry et maintenant Jérôme Cahuzac - il y a de quoi s’interroger sur ses amitiés
politiques », appuie-t-il.
« Un mélange des genres » selon les écologistes
Ce week-end, ce sont Rose-Marie Saint-Germes Akar, secrétaire départementale d’Europe Ecologie-les Verts et Marc
Denis, son représentant sur Cergy-Pontoise, qui ont critiqué la « démarche d’analyse psychanalytique » de l’élu PS. « L’épisode Sigmund Lefebvre versus Dominique Freud, qui constitue à l’évidence
un mélange des genres entre sphère privée et sphère publique, mérite de cesser pour laisser place aux sujets essentiels », écrivent-ils.
Ces propos, Dominique Lefebvre les jugent « indignes de la part de gens qui défendent des valeurs de gauche ». «
Leur réaction n’est pas à la hauteur de la situation de crise que vit la République » ajoute le député. Il assure néanmoins ne pas être surpris par ces attaques et « donne rendez-vous à chacun à
la fin de l’histoire ». C’est également par ses termes qu’il achève ses courriers de riposte adressés hier à plusieurs médias alors qu’il se sentait attaqué. « Si finalement Jérome Cahuzac va au
bout de la démarche de vérité qu’il a engagée et qu’il doit poursuivre, s’il n’ajoute pas à la mort politique et à la mort sociale déjà acquises une mort morale qui serait, comme je lui ai dit,
la con séquence de son refus de démissionner de son mandat parlementaire, si dans ce rendez-vous qu’il a avec sa conscience, il a le courage d’être enfin courageux avec lui-même, nous pourrons
alors reparler de tout ça. Et, pour ma part, j’assumerai les caricatures et attaques dont je suis l’objet aujourd’hui en ayant juste le double sentiment d’avoir sauvé une vie et d’avoir défendu
la République. »
Le Parisien Val d'Oise du 09/04/2013
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