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Possible bonne nouvelle pour les commerçants de la gare de Cergy-Préfecture. Après avoir interpellé via une lettre le président de la SCNF Guillaume Pépy le 28 juillet dernier, Axel Poniatowski a reçu le soutien de Frédéric Vernhes, président de la Chambre du Commerce et de l’Industrie du Val-d’Oise (CCI). « Je vous remercie de nous avoir sensibilisés sur ces travaux et leurs désagréments, a écrit le président de la Chambre au député du Val-d’Oise. La CCI Val-d’Oise peut mettre en place une Commission d’Indemnisation à l’Amiable (CIA). »
Lors de sa lettre à Guillaume Pépy, Axel Poniatowski avait demandé la création de cette commission, « pour évaluer l’impact de la fermeture de la gare cet été et l’été prochain sur le chiffre d’affaires des artisans et commerçants et proposer des indemnisations. » La CCI est donc compétente en la matière : l’institution a déjà créé des commissions pour d’autres travaux dans le département, à Sarcelles, Franconville ou encore Montmagny.
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Samedi 30 août
9h30, Place de l’Hôtel de ville :
9h45, Place de la Libération (devant la mairie) :
10h25, Ecole du Village
La situation budgétaire du département , toujours plus contrainte ! Gérard Seimbille était l’invité de VOtv. Le vice-président du conseil général du Val d’Oise chargé des finances est revenu sur les difficultés financières de l’institution. Et d’abord sur sa dette, qui atteint aujourd’hui 978 millions d’€. "Nous avons trouvé en 2011 une dette qui avait augmenté de 62% en 3 ans, ce qui obéré la capacité financière du département, a expliqué Gérard Seimbille. Plus de 13 millions de depenses n’étaient pas inscrites au compte administratif 2010. Il a fallu les intégrer au budget 2011. Tout ça au moment où les charges sociales progressent à vitesse grand V et les dotations de l’état diminuent. C’était la quadrature du cercle qu’il fallait régler."
Pour se faire, la majorité du président (divers droite) Arnaud Bazin, élu en 2011, a augmenté à deux reprises la taxe foncière. Un levier impossible à manœuvrer aujourd’hui. « Il est hors de question d’augmenter la fiscalité à ce jour pour les Valdoisiens a affirmé l’élu. Les français sont suffisamment taxés au niveau national pour ne pas apporter un effet complémentaire avec une nouvelle hausse de la fiscalité départementale.»
« Les charges sociales représentent 55% du budget»
En cette période de crise, le Département doit pourtant composer avec une hausse des charges sociales, et notamment le RSA, dont la collectivité s’occupe du versement. « Le RSA, c’est 256 millions d’euros sur le budget du département en 2014, sur un budget d’1 milliard 200 millions d’euros. Rien que l’évolution du RSA, c’est 24 millions d’une année sur l’autre. Cela représente ce que subventionne le département pour la culture le sport et la vie associative. Au total, les charges sociales représentent 55% du budget. »
Une autre mauvaise nouvelle ne facilite pas la tâche du Conseil général : la baisse des DMTO (droits de mutation à titre onéreux), une taxe sur les transactions financières. Les recettes de cette taxe évoluent suivant la vigueur du marché immobilier. « On a perdu 30 millions d’euros en 2 ans avec les DMTO. Cette année encore, nous sommes dans une phase de baisse. Nous n’avons aucun moyen d’agir sur cette ressource. »
Un plan d’économies de 55 millions d’euros
Le Conseil général du Val d’Oise a donc mis en œuvre un plan d’économies important, pour pallier la baisse de ses recettes et à l’augmentation des dépenses sociales. « La part sur laquelle on peut agir est de moins de 15% du budget, a expliqué Gérard Seimbille. Fin 2015, nous aurons pu économiser 55 millions d’€. On a adapté nos modes de fonctionnement, sur la logique de comptabilité en interne. On a fait porter ces économies sur ce qui ne pèse pas sur les services produits aux valdoisiens. Le département est en charge de l’aspect social, il faut conserver notre capacité en la matière. »
Mais ces économies pourraient vite être remises en cause par d’autres, formulées par l’Etat cette fois-ci :« Nous allons perdre 55 millions d’€ de dotations de l’Etat sur les prochaines années. soit ce que nous aurons économisé. Et ce sera impossible d’économiser 55 millions à nouveau. »
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