Impliqués depuis des années dans l'action politique locale et avec le soutien d'Axel Poniatowski (Député) et de Thibault Humbert (Maire d'Eragny), nous avons décidé de demander ensemble l'investiture de l'UMP pour cette élection.
Monique Merizio, âgée de 61 ans, est actuellement adjointe au Maire d'Eragny et conseillère communautaire de Cergy-Pontoise.
Alexandre Pueyo, âgé de 35 ans, Cergyssois, est le responsable de l'UMP dans cette ville.
"Notre démarche s'inscrit d'abord dans l’intérêt de notre territoire et de nos cinq communes. C'est pour cela que nous souhaitons regrouper, avec nos futurs suppléants, l'ensemble des forces de la droite et du centre et ainsi continuer la reconquête de nos territoires commencée en mars dernier lors des municipales.
Dès à présent nous allons aller à la rencontre des habitants pour construire un programme local correspondant à la politique menée par la majorité départementale UVO."
Monique Merizio et Alexandre Pueyo Candidats à l'investiture UMP pour le canton de Cergy 2
Voir les reprises de notre communiqué dans la presse locale (Le Parisien 95, La Gazette du Val d'Oise...) en cliquant ICI
Manuel Valls a confirmé ce matin lors du congrès de l'Association des Régions de France que les élections départementales auront lieu les dimanches 22 et 29 mars 2015.
Retrouvez la présentation des 2 nouveaux cantons de Cergy en cliquant sur leur nom :
Des enfants fatigués voire déboussolés pour les plus jeunes d’entre eux, des enseignants qui doivent s’adapter et des parents contraints de s’organiser, tel est le premier bilan de la réforme des rythmes scolaires imposée par l’Etat.
Alors que cette réforme se met douloureusement en place, au prix d’une surcharge de travail sans précédent pour les services municipaux, sans parler du coût en tant que tel qu’il représente à la charge de la ville, nous pensions que nous avions touché le fond en termes d’impréparation et de mépris de l’Etat vis-à-vis des collectivités locales.
Et bien non ! Non content d’avoir lourdement désorganisé les services scolaires de toutes les villes de France, le Ministère de l’Education Nationale n’a rien trouvé de mieux que d’imposer le mercredi 15 octobre comme journée de formation à tous les enseignants, sans aucune concertation bien entendu. Or quel est l’objet de la réforme des rythmes scolaires ? Précisément de faire travailler les enfants le mercredi matin ! Résultat : une matinée de plus que les communes vont devoir prendre à leur charge puisque, évidemment, l’Education Nationale n’a rien prévu en ce qui concerne la prise en charge des enfants…
Cela n’est plus possible. Il est temps de dire stop à tant de mépris des collectivités locales et de faire respecter l’état de droit. C’est la raison pour laquelle, j’enverrai au Ministère de l’Education Nationale en tant que maire de l’Isle-Adam la facture correspondant au coût pour la commune de cette prise en charge supplémentaire. J’invite toutes les communes du Val d’Oise mais également de France à faire de même.
Ce mercredi 15 octobre pourrait bien être la goutte qui fait déborder le vase.
Axel Poniatowski
Député et Président de la Fédération UMP du Val d'Oise
Exit les cantonales, place aux élections départementales
Faire table rase du passé. La réforme territoriale et la nouvelle carte des cantons valdoisiens changent sérieusement la donne. Première conséquence : exit les cantonales, place aux élections départementales. Un temps prévues pour le mois de décembre 2015, ces élections auront bien lieu à la fin du mois de mars prochain.
«C’est encore une marque de l’hésitation et l’improvisation du gouvernement. Le projet de loi est bien resté à l’état de projet. Nous avons eu la confirmation du calendrier des prochaines élections il y a seulement quelques semaines», regrette Arnaud Bazin, président (Dvd) du Conseil général. Pour autant, la majorité départementale est bien en ordre de bataille. «Nous discutons pour choisir les meilleurs candidats sur chaque nouveau canton», confirme Gérard Seimbille, conseiller général (Ump) de Pontoise.
Ainsi, les candidats estampillés Uvo (Ump, divers droite, centre, non-inscrits) devraient être connus vers la fin novembre. Du côté de la gauche, et notamment du Ps, il va falloir serrer les coudes pour reprendre un département qu’elle avait perdu en 2011. D’autant que les dernières élections (municipales, européennes et sénatoriales) sont ultra défavorables à la gauche. Les premiers candidats seront connus mi-octobre. Le groupe Val-d’Oise utile et solidaire, emmené par Didier Arnal (Ps), pourra-t-il renverser la vapeur ? Réponse dans six mois.
Les principaux changements
Les élections départementales (anciennement cantonales) de 2015 sont les premières élections permettant d’élire les conseillers départementaux de l’ensemble des conseils généraux. Elles remplacent les élections cantonales initialement prévues en 2014 et 2017. Le Val-d’Oise ne comporte plus 39 cantons mais 21. Pour autant, ce sont bien 42 conseillers départementaux qui seront élus. En effet, dans chaque canton, un binôme (un homme et une femme) sera en lice. Ce sont donc 42 (au lieu de 39) élus qui siègeront à partir d’avril prochain au Conseil général du Val-d’Oise.