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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 10:27
Nicolas Sarkozy : «Il y a une politique alternative» (Le Figaro)

 

EXCLUSIF - Dans un entretien au «Figaro», l'ancien chef de l'État dénonce le bilan de François Hollande. Il défend le rôle clé de l'entreprise et prône une réduction simultanée des dépenses publiques et des impôts.

 

LE FIGARO. - Croissance, chômage… le gouvernement se félicite de l'amélioration des conditions économiques actuelles. C'est aussi votre analyse ?

 

Nicolas SARKOZY. - Hélas, non. Je veux d'abord rappeler des chiffres incontestables qui illustreront le bilan de François Hollande. Depuis que les statistiques existent, c'est la première fois que la France enchaîne trois années de croissance quasi nulle: 0,3 % en 2012, 0,3 % en 2013 et 0,4% en 2014. On n'avait jamais assisté à un tel décrochage avec nos principaux partenaires européens. C'est aussi la première fois que le nombre de défaillances d'entreprises est supérieur à 60.000 par an deux années de suite. C'est encore la première fois que les dépenses publiques représentent 57 % du PIB et les prélèvements obligatoires 45 %. L'écart par rapport aux autres pays européens est devenu énorme: 7 points de PIB ou 140 milliards d'euros par an d'écart en matière de dépenses publiques par rapport à la moyenne européenne et près de 8 points de PIB en matière de prélèvements obligatoires, soit plus de 150 milliards par rapport à l'Allemagne. Voici où nous ont conduits les trois années du mandat de François Hollande.

 

Cependant, le chômage a baissé en janvier…

 

Comment pouvez-vous vous laisser abuser? La France compte près de 6 millions de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi dans toutes les catégories. Ici encore, du jamais vu. La baisse de 19.100 chômeurs à la fin du mois de janvier - dont je me réjouis naturellement - dans la seule catégorie A n'est rien comparée à la hausse de 193.400 chômeurs enregistrée au cours de la seule année 2014 et à celle des quelque 590.000 chômeurs supplémentaires depuis...

 

Lire la suite en cliquant ici

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28 février 2015 6 28 /02 /février /2015 13:33

 

Fin janvier, dans le Val-d’Oise, 97.790 personnes étaient inscrites à Pôle emploi en catégories A, B et C. Une nouvelle hausse de +0,6 % par rapport à fin décembre 2014, soit 620 chômeurs de plus.

Les vrais chiffres du chômage

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 10:49
"Se présenter à Cergy, Oui ! Y habiter, faut quand même pas exagérer..."
 
C'est la réflexion que je me suis faite quand j'ai lu la liste officielle des candidats aux élections départementales sur Cergy 2 (et aussi sur Cergy 1 du même coup).
Mais qui habite vraiment le canton dans lequel il se présente ?
 
 
En effet, j'ai cherché à savoir où habitait certains candidats, pour mieux connaitre nos adversaires.
Mes recherches sur les réseaux sociaux ou Google m'ont stupéfait !
 
J'ai vite compris qu'un bon nombre de candidats n'habitaient aucune des 5 villes du nouveau canton de Cergy 2.
Et là il faut le lire pour le croire : les fausses excuses, les phrases alambiquées, les non-dits, pour justifier d'être candidat(e)s dans un canton dans lequel quelque fois 3 candidats sur 4 dans une même équipe habitent "ailleurs".
 
Quelques exemples véridiques :
 
  • Cette candidate qui a choisi "Cergy dans son ensemble" ; concept que j'ai du mal à comprendre.
  • Ce candidat qui a passé "toute son enfance à Jouy" mais qui a presque 40 ans, ça fait donc au moins 25 ans qu'il n'y vit plus.
  • Ce candidat qui "comme nous habite dans une commune bordant l'Oise" ; rappelons que 21 communes du Val d'Oise bordent l'Oise...
  • Cette candidate qui "candidate à des élections pour le Val d'Oise" habite "le Val d'Oise" ! En même temps c'est le minimum légal.
  • Enfin cette candidate qui justifie sa candidature par l'amitié qu'elle porte au candidat de son binôme... on touche le fond.
Et à Cergy, là c'est encore pire ! C'est vrai il y a 2 cantons... et bien heureusement qu'il n'y en a pas 3 !
Beaucoup de candidats auraient dû lire la page 6 de "Cergy Ma Ville" (le magazine municipal) qui publie une carte très claire de la séparation entre nord (Cergy 1) et sud (Cergy 2).
Que pensez par exemple de ce parti dont une candidate habitant le sud se présente au nord, et un candidat habitant le nord se présente au sud ?
 
Que certain(e)s candidat(e)s soient là uniquement pour représenter un parti, pourquoi pas...
Mais ce n'est clairement pas la démarche de vos candidats UMP-UVO.
 
Alexandre Pueyo
Candidat aux départementales - Cergy 2
Responsable UMP de Cergy
 
En effet, j'ai cherché à savoir où habitait certains candidats, pour mieux connaitre nos adversaires.
Mes recherches sur les réseaux sociaux ou Google m'ont stupéfait !
 
J'ai vite compris qu'un bon nombre de candidats n'habitaient aucune des 5 villes du nouveau canton de Cergy 2.
Et là il faut le lire pour le croire : les fausses excuses, les phrases alambiquées, les non-dits, pour justifier d'être candidat(e)s dans un canton dans lequel quelque fois 3 candidats sur 4 dans une même équipe habitent "ailleurs".
 
Quelques exemples véridiques :
 
  • Cette candidate qui a choisi "Cergy dans son ensemble" ; concept que j'ai du mal à comprendre.
  • Ce candidat qui a passé "toute son enfance à Jouy" mais qui a presque 40 ans, ça fait donc au moins 25 ans qu'il n'y vit plus.
  • Ce candidat qui "comme nous habite dans une commune bordant l'Oise" ; rappelons que 21 communes du Val d'Oise bordent l'Oise...
  • Cette candidate qui "candidate à des élections pour le Val d'Oise" habite "le Val d'Oise" ! En même temps c'est le minimum légal.
  • Enfin cette candidate qui justifie sa candidature par l'amitié qu'elle porte au candidat de son binôme... on touche le fond.
Et à Cergy, là c'est encore pire ! C'est vrai il y a 2 cantons... et bien heureusement qu'il n'y en a pas 3 !
Beaucoup de candidats auraient dû lire la page 6 de "Cergy Ma Ville" (le magazine municipal) qui publie une carte très claire de la séparation entre nord (Cergy 1) et sud (Cergy 2).
Que pensez par exemple de ce parti dont une candidate habitant le sud se présente au nord, et un candidat habitant le nord se présente au sud ?
 
Que certain(e)s candidat(e)s soient là uniquement pour représenter un parti, pourquoi pas...
Mais ce n'est clairement pas la démarche de vos candidats UMP-UVO.
 
Alexandre Pueyo
Candidat aux départementales - Cergy 2
Responsable UMP de Cergy
En effet, j'ai cherché à savoir où habitait certains candidats, pour mieux connaitre nos adversaires.
Mes recherches sur les réseaux sociaux ou Google m'ont stupéfait !
 
J'ai vite compris qu'un bon nombre de candidats n'habitaient aucune des 5 villes du nouveau canton de Cergy 2.
Et là il faut le lire pour le croire : les fausses excuses, les phrases alambiquées, les non-dits, pour justifier d'être candidat(e)s dans un canton dans lequel quelque fois 3 candidats sur 4 dans une même équipe habitent "ailleurs".
 
Quelques exemples véridiques :
 
  • Cette candidate qui a choisi "Cergy dans son ensemble" ; concept que j'ai du mal à comprendre.
  • Ce candidat qui a passé "toute son enfance à Jouy" mais qui a presque 40 ans, ça fait donc au moins 25 ans qu'il n'y vit plus.
  • Ce candidat qui "comme nous habite dans une commune bordant l'Oise" ; rappelons que 21 communes du Val d'Oise bordent l'Oise...
  • Cette candidate qui "candidate à des élections pour le Val d'Oise" habite "le Val d'Oise" ! En même temps c'est le minimum légal.
  • Enfin cette candidate qui justifie sa candidature par l'amitié qu'elle porte au candidat de son binôme... on touche le fond.
Et à Cergy, là c'est encore pire ! C'est vrai il y a 2 cantons... et bien heureusement qu'il n'y en a pas 3 !
Beaucoup de candidats auraient dû lire la page 6 de "Cergy Ma Ville" (le magazine municipal) qui publie une carte très claire de la séparation entre nord (Cergy 1) et sud (Cergy 2).
Que pensez par exemple de ce parti dont une candidate habitant le sud se présente au nord, et un candidat habitant le nord se présente au sud ?
 
Que certain(e)s candidat(e)s soient là uniquement pour représenter un parti, pourquoi pas...
Mais ce n'est clairement pas la démarche de vos candidats UMP-UVO.
 
Alexandre Pueyo
Candidat aux départementales - Cergy 2
Responsable UMP de Cergy

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 21:29
Le hasard du calendrier a fait que, mardi 17 février, une évidence a sauté aux yeux de tout un chacun : la gauche éparpillée façon puzzle n’a de projet ni pour la France ni pour le Val d’Oise en ce début d’année 2015.
 
Alors que l’Union pour le Val d’Oise a investi de façon cohérente les meilleurs binômes dans tous les cantons du Val d’Oise et s’est dotée d’un programme ambitieux pour la mandature 2015-2021, la gauche s’est montrée incapable de se rassembler avant des élections cruciales pour l’avenir du Val d’Oise et des Valdoisiens. En témoigne l’absence totale de programme – exceptée la critique systématique de l’action responsable de l’UVO depuis 2011 – et la multiplication des candidatures à gauche dans le département. Ainsi, dans certains cantons, ce sont parfois 4 ou 5 binômes se réclamant de la gauche qui, faute de s’entendre sur quoique ce soit, s’affronteront au premier tour.
 
Elle a fait le même jour la preuve de son incapacité à s’entendre pour voter un texte mettant pourtant en œuvre les orientations défendues fortement par le Président de la République, son Premier Ministre et un Ministre présenté comme le parangon de son réformisme.
 
Sans cohérence et sans unité en amont, sans programme, la gauche valdoisienne ne donne pas plus de garantie d’efficacité demain pour le département que la gauche nationale n’en donne aujourd’hui pour notre pays.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 09:55
Article du Parisien Val d'Oise (24/02/2015)

Article du Parisien Val d'Oise (24/02/2015)

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20 février 2015 5 20 /02 /février /2015 17:02
L'UVO lance sa campagne numérique

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18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 19:22
Nicolas Sarkozy invité d'Europe 1 le jeudi 19 février

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18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 14:18
Le feu couvait depuis longtemps. L’actualité dramatique du début d’année a détourné l’attention du mal qui ronge la gauche depuis des mois voire des années. La gauche ? Non, les gauches. Qu’il s’agisse de postures politiciennes en vue du congrès du PS, de la volonté d’exister en tant que courant comme aiment à se présenter les désormais célèbres frondeurs, ou qu’il s’agisse tout simplement d’un « sauve-qui-peut » de la part de députés socialistes qui sentent se rapprocher la sanction du peuple, bien peu de choses semblent réunir cette gauche émiettée, à part peut-être le laxisme de Mme Taubira.
 
L’utilisation du 49.3 est un aveu d’échec cuisant pour Manuel Valls. C’est reconnaître, officialiser même, qu’il n’a plus de majorité à l’Assemblée nationale. C’est reconnaître son impuissance à convaincre son propre camp et en être réduit à imposer un texte à la Représentation nationale qui majoritairement n’en veut pas. Au-delà de la gauche, c’est un échec personnel pour le Premier Ministre qui jusqu’à présent pensait que les gros bras et coups de menton suffiraient à faire rentrer les récalcitrants dans le rang. Présomptueux et orgueilleux. Deux péchés en réalité mortifères pour l’autorité du Premier Ministre.
 
Il se croyait fort, ses troupes lui ont prouvé qu’il était faible.
 
Et la droite dans tout ça ? Soyons clairs, la loi Macron n’est pas la pire loi de la gauche. Certaines dispositions en soi ne sont pas choquantes. Mais faire croire que cette loi est suffisante et répond aux difficultés économiques et structurelles de la France est un leurre. Faire croire aux Français qu’avec cette loi la France se dote des outils pour juguler le chômage de masse est une escroquerie. Le cautionner en votant ce texte aurait été irresponsable voire dangereux car aurait laissé entendre que nous nous contentons de ces quelques mesures alors que la France a besoin d’une thérapie de choc !
 
Il était de notre responsabilité de ne pas voter ce texte, de même qu’il est de notre responsabilité de voter la motion de censure contre le Gouvernement afin de marquer non seulement notre désapprobation mais également notre exaspération devant la situation dans laquelle la gauche a plongé notre pays. Qu’a-t-elle fait depuis deux ans et demi ? Pas besoin de faire de la littérature, les chiffres parlent malheureusement d’eux-mêmes : un demi million de chômeurs supplémentaires, portant le chômage de masse en France à plus de 3 millions et demi, une dette abyssale de 2 000 milliards d’euros, avoisinant les 100% du PIB, un matraquage fiscal sans précédent de 40 milliards d’euros d’impôts supplémentaires avec pour conséquence une baisse du pouvoir d’achat des Français de 1 500 € par an en moyenne, du jamais vu depuis 50 ans, une croissance atone alors que nos voisins connaissent la reprise, un déficit commercial de 5,8 milliards et des investissements, notamment de la part des collectivités locales qui sont asphyxiées, qui s’effondrent (-7,4%) et la liste n’est pas finie.
 
Alors oui, l’UMP non seulement est dans son rôle en refusant de rentrer dans le jeu de la médecine cosmétique mais c’est son devoir de s’opposer à une politique menée par la gauche qui au mieux ne fait que retarder les échéances, au pire fait s’accélérer le décrochage du pays.
 
Axel Poniatowski
Député et Président de la Fédération UMP du Val d'Oise
 

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:31
A cinq semaines du premier tour du scrutin (les 22 et 29 mars), tous les candidats se sont désormais déclarés en préfecture.
 
Le compteur s'est arrêté à 126 binômes de candidatures, hier, à 16 heures. Ultime limite du sixième jour de dépôt des candidatures aux élections départementales des 22 et 29 mars. Deux heures plus tard, dans le salon Monet au sous-sol de la préfecture à Cergy, il a été procédé au tirage au sort de l'ordre d'attribution des panneaux d'affichage électoraux à l'entrée des bureaux de vote.
 
Le canton de Sarcelles très convoité. C'est donc une moyenne exacte de six candidats par cantons qui vont s'affronter dans les 21 que compte désormais le département depuis le redécoupage électoral (contre 39 cantons jusqu'à présent). C'est le canton de Sarcelles qui s'avère être le plus convoité, avec neuf binômes en lice. A l'inverse, dans le canton de Fosses, ils seront seulement quatre (deux à gauche, un à droite et un FN) à s'affronter.
 
La liste officielle validée aujourd'hui. Après avoir enregistré 111 candidatures la semaine dernière, hier, dans la dernière ligne droite, ce sont 15 candidats qui ont déposé leur dossier. La liste officielle de tous les binômes après un examen minutieux de chaque candidature par les services de la préfecture (504 noms avec ceux des remplaçants) sera officiellement validée aujourd'hui.
 
Des candidats FN partout. En attendant, contacté hier soir, Alexandre Simonnot, patron départemental du FN (le premier à avoir déposé sa candidature), souligne l'unité de son parti. « Les autres sont divisés, en particulier le PS », fait-il remarquer.
 
La gauche part divisée. Trois conseillers généraux sortants de gauche partent sans l'investiture du PS. Le président socialiste du groupe des élus de gauche au conseil général, Didier Arnal, à Sarcelles, Jean-Pierre Barentin (PS) à Taverny et Jackie Breton (DVG) à Vauréal. « Il n'y a pas de raison que l'échec du rassemblement à gauche soit plus imputé au PS qu'aux autres partis, se défendait hier soir Rachid Temal, patron du PS 95. Dès le début, le PC a dit qu'il ne conclurait pas d'accord avec nous pour des raisons nationales et les écologistes à cause d'EuropaCity. Nous le regrettons car nous avons toujours souhaité le rassemblement à gauche. »
 
« Mais nous soutenons des binômes dans 21 cantons, poursuit-il. Et il n'y aura pas seulement des socialistes, mais aussi des candidats divers gauche, des personnalités issues de la société civile et des écologistes. L'écologie ne se résume pas, d'ailleurs, seulement à Europe Ecologie-les Verts. La maire de Vauréal (NDLR : Sylvie Couchot), que nous soutenons, est d'ailleurs écologiste. La vraie question, c'est de demander aux électeurs quel est le seul vote qui permettra de dire non à la majorité sortante de droite et dont nous connaissons le bilan. Mais aussi qui sera capable de dire non au Front national. Ce vote sera celui pour le binôme soutenu par le parti socialiste. »
 
La droite très confiante. Pour Stéphanie Von Euw, porte-parole de l'UMP 95, le nombre « raisonnable » de binômes paraît « correspondre à une candidature de tous les partis » représentatifs. « Il faut se souvenir qu'aux législatives, nous étions parfois jusqu'à une vingtaine de candidats par circonscription ! » rappelle-t-elle. Selon l'UMP, « c'est plutôt une bonne chose d'avoir des adversaires divisés. Mais au-delà, ce qui est frappant, c'est que la gauche part perdante. Les investitures ont été compliquées, aucun ténor n'apparaît. On dirait que personne n'a envie d'être l'artisan de cette défaite. Et puis on voit bien à travers les différentes candidatures que le PS n'attire plus, tous ses alliés s'en détachent. » Stéphanie Von Euw assure qu'au contraire, à droite, " tout est bien huilé. C'est la première fois que nous investissons aussi tôt nos candidats. Cela montre notre volonté absolue d'ancrer le département à droite. "
 

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14 février 2015 6 14 /02 /février /2015 11:09
Chers Amis,

Je tiens à remercier ma famille politique pour la confiance unanime qu’elle m’a accordée cet après-midi en me désignant tête de liste des régionales en Ile-de-France. Cette investiture, qui marque l’unité de l’UMP, donne le coup d’envoi de l’alternance dans la région capitale.

 
Vous le savez tous, l’Ile-de-France est ma passion depuis maintenant 10 ans. Notre région a de formidables atouts mais elle est en panne, fracturée, polluée, source de toutes les inégalités. Les problèmes de transports, de logement, d’emploi, de formation et de vivre ensemble n’ont jamais été aussi aigus. Voilà le résultat de 17 ans de gestion socialiste, verte et communiste.
 
Nous devons lui redonner son attractivité et sa fierté pour relancer la croissance et l’emploi. Notre devoir est de réduire les inégalités et le sentiment d'abandon de certains habitants. Nous veillerons à renforcer la sécurité partout et pour tous. Je veux casser les ghettos qui cumulent aujourd’hui toutes les difficultés. Je souhaite redonner de la vitalité et de l'espoir à notre ruralité, qui a été la grande sacrifiée de la politique régionale. Je mettrai la réussite éducative au cœur de nos priorités car sans elle, il n’y a pas d'avenir pour nos jeunes.
 
Notre région est pleine de ressources, de talents inexploités, d’énergie. Je veux redonner à chacun l'envie de vivre et de s’installer en Ile-de-France.
 
Région et départements doivent travailler la main dans la main. Dans les jours qui viennent, vous me verrez donc aux côtés de nos candidats aux élections départementales qui participent, chacun à l'échelle de  leur territoire, à ce réveil de l’Ile-de-France, engagé aux dernières municipales.
 
Dans cette longue marche, je compte sur chacun d’entre vous et je vous invite à rejoindre mon comité de soutien Valérie Pécresse 2015 (www.jesoutiensvaleriepecresse.fr).
 
A très bientôt près de chez vous !
 
Valérie Pécresse
 

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